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Je fus prof et le reste dans l'âme...
Comme il semblerait que Magitte n'ait jamais eu l'opportunité d'apprendre l'intégralité de ce valeureux chant de « L'artilleur de Metz », il est de mon devoir d'excellent pédagogue, que je fus et que je reste, de les lui apprendre enfin (puisque son frère n'osa jamais, apparemment, le faire).
Donc, voici :
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Commentaires
Merci pour cette découverte grâce à vous et Magitte.
C'est vrai qu'une fois enseignant, on le reste à vie.
Merci encore.
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Merci ! grâce à vous, 'j'apprends enfin quelque chose et je ne risque pas de mourir idiote ! Lorsque mon frère chantait ça, il préparait Polytechnique et était en "taupe" au lycée Charlemagne à PARIS...quel souvenir ! C'était...hier ! peut-être même avant-hier ...