• Je n'me souviens plus.

    Bourvil, de son vrai nom André Raimbourg, (1917-1970).

    Vous connaissez tous bien évidemment. Aujourd'hui ce n'est pas sa veine comique que je veux évoquer, même s'il m'a fait rire des centaines de fois, ce n'est pas non plus sa veine dramatique, même s'il m'a fait pleurer ou frémir moult fois, ce que je veux évoquer c'est sa veine « tendresse ».

    Pour cela, deux titres seulement dont un en double mais vous comprendrez pourquoi : Le petit bal perdu et La ballade irlandaise.
    Ce dernier titre a bercé mes jeunes années. Mais je commence par l'autre, d'abord « en vrai » :

    Puis dans la magnifique version qu'en a fait Paul Découflé en 1993 (avec Pascale Houbin) en pseudo langage des signes pour sourds-muets.
    Une pure merveille d'invention graphique :

    Et je termine par cette ballade où les orangers ne poussent pas sur le sol irlandais :

     


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  • Commentaires

    1
    Lundi 22 Avril 2013 à 17:41

    j'avais eu les lettres moi mais c'est normal hein? et Bourvil j'adorais ce monsieur et la chanson des orangers sur le sol irlandais m'a toujours émue, alors merci à toi,et meilleure santé

    2
    Mardi 23 Avril 2013 à 20:03

    J'aime tout de Bourvil. Dans tous les registres il était superbe.

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