• Nights in white satin.

    Moody Blues.

    Pas de raison de s'arrêter. Même année (1967) que le précédent, mais en Novembre cette fois : je vous ai dit qu'il n'y avait pas que l'été qu'on dansait le  slow  !

    Anglais de nouveau, la version album (trop) rarement passée à la radio se terminait en concert symphonique. J'adorais.

    Pour deux raisons : la première musicale (mais à la limite accessoire), la seconde, ça prolongeait la drague ! Et ça c'est pas rien...

     

    Désolé, la vidéo originale n'est plus intégrable ! Faute de mieux je vous mets ça (au moins c'est la vraie zik !). [J'aime pas la reprise de Bashung et pourtant, Dieu sait, si j'adorais ce mec !] Bon y'a pas la fin symphonique dont je vous parlais, la traduction est moyenne (une de mes premières vraies versions anglaises à moi que j'ai faite à l'époque était meilleure !) (Y'a même une erreur dans les paroles originales !). Vais continuer à chercher, si je trouve je vous dirai.

     

     

     

     Finalement, j'ai pas cherché trop longtemps avant de trouver mieux : déjà les paroles originales sont les bonnes et il y a le début de la suite symphonique, alors hein...

     

    (YouTube)

     

     

     

     

     

     


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  • Commentaires

    1
    Jeudi 25 Octobre 2012 à 19:21

    Je n'étais pas bien vieille en 1967, et ce slow ne me dit rien du tout! Snif!! Pas mal la suite symphonique..Très musique de films,non?

     

     

    2
    Vendredi 26 Octobre 2012 à 00:21

    Très oui. Mais t'imagines pas le pied (gamine que tu es !) que je prenais en écoutant Salut les Copains les rares fois où ils la passaient en entier.

    Vais essayer de trouver l'enregistrement entier.

     

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