• Je vous en ai déjà parlé maintes fois, mais j'y reviens.

    La Traviata de Giuseppe Verdi.

    Mon problème c'est qu'il suffit que j'entende les deux ou trois premières mesures de l'Ouverture pour que je me mette à trembler. Physiquement, trembler !

    Cette œuvre a de multiples interprétations, certaines que j'adore d'autres qui m'ont abominablement déçu.
    Ici, je vous propose (à nouveau) un extrait de la version qu'en a tiré le cinéaste italien Franco Zeffireli.
    Il manque des scènes dans ce film, mais c'est une des meilleures illustrations que j'en connaisse et Teresa Stratas y est parfaite.

    Là je vous en propose seulement le final (et encore y manque-t-il le début dudit, le E tardi, ce truc qui m'arrache des larmes à chaque écoute, mais vous le trouverez ici)  :

     

     

    Et ces trois putains d'accords finaux ! (Désolé au passage pour le brouillamini final).

     

    Ah oui, si vous voulez le film en entier c'est ici.
    Mais mieux vaut vous procurer le DVD.

     

     


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