Les monstres sacrés (1 bis)

1 bis, parce que je récidive avec Brassens !
Désolé pour ceux qui n'aiment pas mais j'ai du mal à me contenir.

Alors je vous en sers une autre douzaine, et, comme je suis généreux et ai peut être un ancêtre marchand d'huitres, ce sera même treize à la douzaine !

Comble de générosité cette fois je vous mets les titres et, parfois même, un commentaire :

La mauvaise réputation, c'est ce maniement magnifique de la langue française qui me fait aimer d'abord Brassens, le contenu aussi bien sûr :

Le fossoyeur, je vous expliquerai un jour pourquoi :

Le gorille, dois-je me justifier ?

Il suffit de passer le pont, sans commentaire :

Les amoureux des bancs publics, là j'aurais des tas de choses à dire mais je me contenterai de peu. Je fais partie plutôt des « ventripotents » dont il cause, mais quand je m'assoie sur un tel banc la chanson surgit, j'y peux rien :

Pauvre Martin, z'avez vraiment besoin de commentaires ?

Chanson pour l'Auvergnat, pareil, mais cependant j'ajoute « Arrêtez de penser aux autres comme à des autres, pensez-y comme à des vous » :

Marinette, là, de nouveau, c'est pour le pur plaisir de la langue française :

L'enterrement de Verlaine, y'a pas de musique, y'a que des mots, mais quels mots ! et pour qui !

Le 22 Septembre, là vous pouvez pas comprendre, et même ceux ou celles qui croiront comprendre ignoreront la moitié au moins des choses, mais j'emporterai ça dans mon tombeau, désolé :

L'épave, pas grand-chose à ajouter au texte, écoutez plutôt :

Verlaine, tiens encore lui :

Et donc puisque vous avez été bien sages, le treizième de la douzaine.
C'est un de mes titres fétiches de la chanson française, je vous en ai parlé déjà ici, mais en voilà donc une autre version.
Puisque vous partez en voyage :

Promis, j'essaierai (pendant quelques jours au moins) de ne plus vous parler de Brassens.
Mais je ne garantis rien.