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Intermezzo.
de Pietro Mascagni dans Cavaliera Rusticana.
Pour une introduction générale à cette page ainsi qu'à la précédente et la suivante, voir ici.
Voilà pour les jours de cafard. Et si vous demandez à quelqu'un pourquoi, il vous répondra « À cause des violons », et même des tutti de violons. Ben oui, mais non. Certes, si vous enlevez les violons, l'œuvre n'existe plus, mais essayez pour voir d'enlever le reste : le hautbois, les violoncelles, les contrebasses, les flûtes, etc. et vous verrez qu'elle disparaîtra tout autant et sa mélancolie avec. Je vous l'ai déjà dit la musique est un art compliqué !
Remarque anecdotique : un jour sur YouTube, j'ai lu ce commentaire : « Al Pacino crying. » Bien sûr c'est vrai, la scène finale du Parrain III est illustrée par cette musique, mais elle se suffit à elle-même.
La version que je vous propose est une de mes préférées :
(YouTube)
Tags : pietro mascagni, cavaliera rusticana
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Commentaires
Si on regarde bien, c'est l'inverse : les compositeurs de musique de film (dont certains excellents) ce sont inspirés d'eux !
Si je puis déposer mon grain de sel, "Les Asiatiques envie les Européens d'avoir INVENTE la MUSIQUE CLASSIQUE ...." dixit Eric-Emmanuel SCHMITT qui fait un tabac en ce moment sur les planches avec son MAVIE AVEC MOZART ! Ma Juju (Pyrausta) doit savoir de quoi je parle Puisque j'ai fait plusieurs articles sur cet écrivain GENIAL ... D'ailleurs, ceci va me donner l'occasion de voir si durant le transfert de mon BLOG, ces articles ne se sont pas perdus !
Si tu es curieux sur la question Patrick, sur mon Blog, en tapant le nom de l'auteur dans la rubrique recherche, tu devrais tomber dessus . Mais est-ce que je parle à un connaisseur d'E-E-S ?
Si tu veux vérifier par toi-même mes dires de la première phrase, c'était dans l'émission d'Olivier BELLAMY Hier 18h/19h sur FRANCE MUSIQUE CLASSIQUE .....
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Qui dit que les Japonais sont impassibles?
Quand j'entends Mascagni , Leoncavallo ou même Puccini, je me dis que s'ils avaient pu, ils auraient été de magnifiques compositeurs de films, dans le lacrymal, bien sûr.